Croire en un avenir meilleur. Croire en la vie, en l’amour. Croire qu’on peut être quelqu’un. Croire tout simplement. À bord d’un immense cargo traversant l’océan, Sinbad et Rat d’eau se rencontrent, se font peur, s’apprivoisent, s’apprennent puis deviennent inséparables. Personnage clandestin, Sinbad se cache et attend d’apercevoir le rivage pour nager vers de nouvelles aventures. Sa formule d’invisibilité n’ayant pas fonctionné, Sinbad se fait capturer par Rat d’eau, matelot un peu simplet mais attachant vivant sous le joug d’un capitaine sans pitié. Bien que tout semble les opposer à prime abord, ces deux enfants développent une improbable amitié, dissimulés au fond d’une cale.
S’appuyant sur l’autre pour grandir, se faisant la courte échelle vers le soleil, Sinbad et Rat d’eau partagent l’espoir d’une vie magique et transmettent leur courage à la foule de jeunes spectateurs de la Maison Théâtre. Avec des mimiques ludiques, un texte sincère et un dynamisme corporel, Marie-Josée Forget et Marilyn Perreault, respectivement Sinbad et Rat d’eau, font comprendre l’importance de croire et de s’entourer d’amis sincères et dévoués.
La simplicité a permis au duo de comédiennes de donner des frissons et surtout de faire rire un public plus qu’enthousiaste après tant de belles images et de belles paroles. Chantant de vérité, «La migration des oiseaux invisibles» donne matière à voir et à réfléchir sur l’importance de l’amitié et sur la foi en sa bonne étoile. Une belle leçon sur la vie signée Mathieu, François et les autres!
S’appuyant sur l’autre pour grandir, se faisant la courte échelle vers le soleil, Sinbad et Rat d’eau partagent l’espoir d’une vie magique et transmettent leur courage à la foule de jeunes spectateurs de la Maison Théâtre. Avec des mimiques ludiques, un texte sincère et un dynamisme corporel, Marie-Josée Forget et Marilyn Perreault, respectivement Sinbad et Rat d’eau, font comprendre l’importance de croire et de s’entourer d’amis sincères et dévoués.
La simplicité a permis au duo de comédiennes de donner des frissons et surtout de faire rire un public plus qu’enthousiaste après tant de belles images et de belles paroles. Chantant de vérité, «La migration des oiseaux invisibles» donne matière à voir et à réfléchir sur l’importance de l’amitié et sur la foi en sa bonne étoile. Une belle leçon sur la vie signée Mathieu, François et les autres!
ANDRÉE-ANNE BRUNET
«La migration des oiseaux invisibles»
Avec Marie-Josée Forget et Marilyn Perreault
Texte de Jean-Rock Gaudreault
Texte de Jean-Rock Gaudreault
Mise en scène de Jacinthe Potvin
Maison Théâtre
Du 30 janvier au 14 février 2009
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